Pode Ser / C'est toi qu'on adore
Pode Ser / C'est toi qu'on adore
Pode Ser / C'est toi qu'on adore

Pode Ser / C'est toi qu'on adore

une nouvelle vision de la danse
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l’histoire

Les pièces dansées de Leïla Ka sont comme des déflagrations, des coups lancés contre toutes les entraves, tout ce qui nous empêche d’être nous-mêmes, en nous comme dans le monde extérieur. Le mouvement devient un impérieux geste de libération, une pulsion vitale qui évacue la peur et permet à travers la danse l’expression d’une jubilation, la joie d’oser être. L’honneur d’être ! Tandis que Pode Ser est un solo illustrant cette difficulté du soi – il est question de limites, mais aussi d’aspirations –, le duo de C’est toi qu’on adore met en scène des héroïnes tragiques, vulnérables ou invincibles, qui luttent sans faillir contre les barrières dressées face à elle. Une double émotion artistique à expérimenter... et à oser !

ce qu’ils en disent

Je traite effectivement de la difficulté à être soi. Je veux surtout dénoncer les empêchements extérieurs ou que l’on se donne à soi-même. Et les difficultés qu’on a à les dépasser. Chacun de nous se débat comme il peut pour atteindre son être rêvé plus ou moins éloigné de son être réel. Pode Ser exprime le désarroi d’être au monde et de n’être que soi. Il s’agit d’un dialogue intérieur qui se veut une sorte de combat incessant contre les assignations. Dans C’est toi qu’on adore, elles sont deux, et s’élancent, bancales. Contre elles une adversité que l’on devine mais dont on ne sait rien. Elles avancent, résistent, s’effondrent parfois, mais s’évertuent inlassablement à lutter jusqu’à l’épuisement. C’est un cri d’espoir où le corps exulte ce qu’il a de plus cher, cette pulsion de vie qui nous tient debout. Leïla Ka

ce qu’ils en pensent

Le solo Pode Ser met en joue les images, les costumes, les clichés dans lesquels on nous enferme et qui sont toujours si difficiles à dynamiter. Le duo C’est toi qu’on adore traite également de la quête de soi, en abordant cette fois le continent toujours inconnu et mystérieux qu’est l’autre. Télérama
Tout aussi haletant, le duo C’est toi qu’on adore dégoupille une partition déflagrante, rapide et segmentée. Cet instantané a la puissance d’un uppercut et d’une révélation. Rosita Boisseau, Le Monde
Pode Ser et C’est toi qu’on adore, deux pièces coup de poing qui visent juste et touchent au cœur. Les Inrockuptibles

rencontre avec l’équipe artistique à l’issue de la représentation du vendredi 7 février
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