Splendeurs et misères

Splendeurs et misères

une adaptation rythmée et délirante parrainée par le théâtre du soleil !
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l’histoire

Lucien de Rubempré arrive aux portes de Paris, chargé de ses rêves d’écrivain, sa quête vaine de l’absolu, son désir de se faire un nom, son âme prête à être vendue à tous les diables qui passent. À la façon d’une comète, il traverse les milieux parisiens. D’univers en univers il fait le choix d’embrasser ce monde d’ambitions et de pouvoir, dont les épreuves le ramèneront à se souvenir de sa vie d’avant, d’Angoulême, des mois qui ont précédés son départ. Des images de candeur lui apparaîtront chaque fois qu’il plongera un peu plus dans les vices de la société, jusqu’à la désillusion au sein d’une cour où les destins se font et se défont enun claquement de doigts. C’est l’histoire d’une ascension et d’une chute qui va voir les rêves d’enfant de Lucien mourir au contact d’une société de l’argent et du profit qui fait croire et qui tue.

ce qu’ils en disent

Ma mission est d’emmener avec moi notre troupe dans l’exploration de cette montagne qu’est l’oeuvre de Balzac. Des personnages puissants à incarner pour des acteurs. Je pense notamment à Coralie, actrice guerrière prête à tout pour devenir une comédienne reconnue, mais qui finira pourtant sacrifiée à Lucien de Rubempré. À Etienne Lousteau, jeune homme aux illusions tellement perdues qu’il trouvera refuge dans le monde du jeu et de l’argent… Tout est là, je crois, pour renvoyer une image pertinente de notre époque. Cette histoire a pour moi des accents étrangement familiers. Lucien de Rubempré, c’est chacun d’entre nous. Celui qui arrive plein de rêve, de vigueur et d’insolence dans un monde tout prêt à l’écraser. L’innocence de Lucien me touche particulièrement. Il se prend au jeu, fonce dans une épopée de gloire et de succès. C’est pourtant à son humiliation que nous devons assister. Paul Platel

ce qu’ils en pensent

Paul Platel et le Théâtre des Évadés signent une adaptation ingénieuse et hilarante de Balzac. Preuve que ce n’est pas se bercer d’illusions que de croire en l’avenir du théâtre ! La Terrasse
Du rythme, du style et un beau jeu : une adaptation débridée ! Les Echos
Une adaptation audacieuse qui conserve et le cheminement des intrigues et la puissance de l’écriture de Balzac, sans suivre scolairement les oeuvres. Jeune et intelligent ! Le journal d’Armelle Heliot

rencontre avec l’équipe artistique à l’issue de la représentation du mercredi 25 mars
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