Phèdre !
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Phèdre !

trois ans après le succès de sa création à Avignon, enfin à anthéa !
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l’histoire

Comment transmettre sa passion pour un texte ? Une sorte de conférencier présente le Phèdre de Racine : il nous raconte les merveilles de l’alexandrin, les divines généalogies mythologiques des principaux personnages, puis, peu à peu se met à interpréter tous les rôles, avec son livre comme seul accessoire pour mimer la couronne de Phèdre, la barbe de Théramène ou l’armure de Thésée. Comme l’héroïne racinienne, le voici emporté par son émotion fervente, et ses mots disent l’irrépressible passionnel. Dans une subtile mise en abyme pleine d’humour et d’inventivité, Phèdre ! raconte comment le théâtre naît du plaisir de croire ensemble à une fiction et rencontre toujours le réel de façon inattendue.

ce qu’ils en disent

La plus fameuse et plus jouée des tragédies de Racine ne sera pas le véritable sujet de ce spectacle. Ce dernier se cache sous le point d’exclamation qui, au temps de Racine, était appelé point d’admiration. Un admirateur, par définition, considère avec un étonnement mêlé de plaisir quelque chose qui lui paraît beau. Mon ambition est de partager cet émerveillement pour le texte racinien en abordant, par le biais d’un conférencier débordant d’enthousiasme, différentes facettes de la pièce : la langue unique de Racine, la force des passions qu’il dépeint mieux que personne, les origines mythologiques des protagonistes et le contexte historique de l’écriture de la pièce. Il sera donc dans Phèdre ! question de joie, avant tout. François Grémaud

ce qu’ils en pensent

Dans une réjouissante version de Phèdre, François Grémaud et son époustouflant interprète Romain Daroles nous prouvent que les grandes œuvres sont à la portée de tous, Nathalie Simon, Le Figaro
Cette pièce tendrement loufoque, espiègle et interactive, réussit le pari audacieux de faire redécouvrir Racine avec un regard inédit et contemporain. France 5
Un spectacle enthousiasmant qui exprime une passion dévorante pour Phèdre et pour le théâtre. Un défi relevé avec panache. Le Courrier
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