La Réunification des deux Corées
La Réunification des deux Corées
La Réunification des deux Corées

La Réunification des deux Corées

la reprise d’un succès phénoménal
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l’histoire

À travers des saynètes tendres, cruelles ou ambigües, Joël Pommerat ausculte les tréfonds du sentiment amoureux. De la femme qui ne peut plus supporter la froideur maritale et demande enfin le divorce après vingt ans de couple à celle qui retrouve son premier amour, de l’homme qui se pend pour celle qu’il aime à celui qui visite chaque jour son épouse amnésique, en passant par les parents qui s’inventent une progéniture ou par la prostituée qui réconforte ses clients, c’est toute une comédie humaine qui dévoile la vérité profonde des cœurs. Inspiré par La Ronde de Schnitzler et les Scènes de la vie conjugale de Bergman, le metteur en scène nous invite à entrer dans la danse et descendre au plus loin de nos propres méandres.

ce qu’ils en disent

Qu’est-ce qui nous lie, qu’est-ce qui nous attache aux autres et au sentiment de notre propre existence ? Dans la précédente mise en scène crée à l’Odéon il y a dix ans, j’ai travaillé sur un espace bi-frontal, créant un long couloir entre les deux parties du public. Je voulais ancrer mes personnages dans le vide, mettre à distance les corps dans des situations les plus intimes et permettre à la plus infime des vibrations intérieures de se déployer au dehors, dans une « géométrie » des sentiments. Désormais je désire revenir à une scénographie frontale, afin qu’au travers de la séparation se produise une forme de rencontre, de réunification imaginaire. Joël Pommerat

ce qu’ils en pensent

Dans ce kaléidoscope acerbe des relations humaines, Pommerat expose les mille et une turpitudes de l’amour en une vingtaine de saynètes implacables. Gilles Renault, Le Figaro
Depuis quelques années, Joël Pommerat s’est rapproché du réel. Mais ce réel est toujours transcendé par le trouble, l’ambiguïté. Comme s’il arrivait à faire exister les arrière-plans fantasmatiques des situations ordinaires : un réel totalement tissé d’imaginaire. Fabienne Darge, La Monde
Les personnages ne sont pas seulement graves, tragiques, bouleversants. Ils savent se montrer irrésistiblement drôles, représentant toute une humanité petite, humble, maladroite, fragile qui se débat dans ses contradictions et l’infini de sa finitude dans la difficulté d’aimer. Didier Méreuze, La Croix
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