Fabrice Luchini lit Victor Hugo

Fabrice Luchini lit Victor Hugo

le retour de fabrice luchini à anthéa
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report de dates

En raison de modifications de planning de tournage totalement indépendantes de notre volonté, les représentations du spectacle de Fabrice Luchini ont été reportées aux dates suivantes :

· Dimanche 1er juin 2025 à 16h30 → reporté au mardi 15 juillet 2025 à 20h
· Lundi 2 juin 2025 à 20h → reporté au mercredi 16 juillet 2025 à 20h30
· Mardi 3 juin 2025 à 20h → reporté au jeudi 17 juillet 2025 à 20h

Pour les spectateurs ayant réservé des places avant ce changement, nous avons automatiquement transféré vos billets vers la date correspondante, en conservant vos places et leur validité. Vos billets d'origine sont donc valides pour les nouvelles dates.

l’histoire

Dans son spectacle, Fabrice Luchini donne vie aux mots de Victor Hugo avec une intensité rare. À travers une sélection de textes puissants, il explore l’âme du poète, sa vision du monde, son engagement politique et sa langue flamboyante. Avec son phrasé si particulier et son amour évident pour la littérature, Luchini ne se contente pas de lire Hugo : il l’habite, le fait résonner, le rend incroyablement actuel. C’est un moment suspendu, où la profondeur des textes rencontre l’énergie théâtrale d’un interprète passionné.

ce qu’ils en disent

J’ai fait une première lecture de textes et poèmes de Victor Hugo devant le public en juin 2021, dans les jardins de la Maison de Chateaubriand. Contrairement à la phrase d’André Gide, pourtant fin analyste, « Quel est le plus grand poète français ? Victor Hugo, hélas », il y a pour moi des éblouissements dans les écrits de Victor Hugo qui dépassent l’artisan doué, et des bonheurs d’écriture qui surgissent de sa création très féconde. Fabrice Luchini

ce qu’ils en pensent

On verra combien Luchini explore, laboure le texte. Ne récite pas, ne déclame pas, ne chante pas. Creuse. […] Fabrice Luchini ne joue pas le mot, l’anecdote, juste le rythme, le souffle, l’âme de la phrase. Télérama
Le comédien lit cet Hugo « au bout du rouleau » avec ce ton clair-obscur, sans lyrisme, cette voix qui a de l’oreille. Le Figaro
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