Paul Mirabel | Par amour

Paul Mirabel | Par amour

coup de foudre à anthéa !
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l’histoire

Paul Mirabel est devenu en peu d’années un personnage majeur du stand-up français. Grand échalas pince sans rire, il use et abuse de sa plume intelligente et sensible pour forger l’image d’un garçon paumé et désabusé, tendrement décalé, faussement maladroit. Après un premier spectacle Zèbre, le jeune humoriste de 27 ans repart en tournée pour présenter son nouveau seul en scène. Par amour évoquera les différentes relations, amoureuses, amicales ou même familiales qui le motivent. Venez découvrir à anthéa ce poète dégingandé et à votre tour vivez avec lui une belle histoire d’humour !

ce qu’ils en disent

Hé j’ai pensé à ce que je pourrais dire... Je pourrais parler d’amour, j’ai pas encore trouvé les mots exacts, mais en fait, tout part de l’énergie d’amour, parce qu’en vrai l’amour c’est pas que les relations, c’est aussi nos passions, nos rêves, toutes les choses pour lesquelles on se donne à fond, toutes les choses aussi pour lesquelles on se donne du mal, c’est aussi la famille, les potes... Avant je pensais que le contraire de l’amour c’était la haine en vrai, mais si y’a pas d’amour tu peux pas détester. En vrai son contraire c’est la peur. Parce que si t’as peur tu vas nulle part, tu tentes rien, t’es immobilisé, il va rien arriver, c’est le néant tu vois... Parfois c’est un regard, parfois c’est juste un rendez-vous, parfois c’est aussi toute une vie... Enfin bref, tu vois, genre on pourrait expliquer un truc comme ça... Paul Mirabel

ce qu’ils en pensent

Silhouette filiforme, timbre de voix nonchalant, Paul Mirabel se sent en décalage avec notre époque et le fait savoir à sa manière. Une figure singulière de l’univers du stand-up. Kilian Orain, Télérama
Paul Mirabel est en quelque sorte le zèbre du stand-up français, qui se démarque par sa diction et son attitude un brin timide. Nonchalant au point de provoquer l’hilarité du public rien qu’en se déplaçant vers une bouteille d’eau. L’Internaute
La nouvelle sensation du rire. Grégory Plouviez, Le Parisien
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