Exit above, d'après la tempête
Exit above, d'après la tempête
Exit above, d'après la tempête

Exit above, d'après la tempête

le grand succès de la danse au dernier festival d’Avignon
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l’histoire

Dans ce spectacle puissant et envoûtant, Anne Teresa De Keersmaeker creuse l’art de la danse jusqu’à atteindre la source première du mouvement : la marche, et son empreinte sur nos conceptions du monde et du rythme, donc de la musique. À travers cette exploration de la marche – qu’elle soit solitaire ou partagée, spirituelle, méditative ou manifestante – la chorégraphie arpente l’espace scénique et invite le spectateur à un voyage musical merveilleux, de la fantaisie de Schubert au mythique « Walking blues » de Robert Johnson. Sur scène, la troupe des danseurs s’unit à la voix ensorcelante de la chanteuse Meskerem Mees, accompagnée par le guitariste Carlos Garbin. Des premiers hommes au monde moderne, du blues des esclaves à la musique pop, laissez-vous gagner par les percussions fondamentales qui impulsent le geste à nos corps, et retrouvez vos propres pas.

ce qu’ils en disent

EXIT ABOVE est une didascalie que l’on retrouve dans La Tempête de Shakespeare : il devait y avoir une machinerie pour faire sortir les comédiens par le haut. Dans ce spectacle, il y a une trame sous-jacente issue de La Tempête, qui se marie à la trame principale, constituée d’un travail sur le blues – en tant qu’origine de la musique pop. La musique est reliée au corps : aux pieds pour frapper le rythme, à la voix pour chanter... La marche est notre pulsation première. Elle est la ligne de base du mouvement, l’énergie fondamentale qui nous fait exister comme individu et comme groupe, elle est la force souterraine qui depuis toujours et pour toujours nous propulse vers l’avant, vers le haut : EXIT ABOVE. Anne Teresa De Keersmaeker

ce qu’ils en pensent

Rave party d’avant le déluge, marche éperdue, EXIT ABOVE ne raconte pas une seule histoire, mais bien des vies, qui portent la pièce vers des sommets d’intensité, comme un courant électrique traversant en permanence les corps. Philippe Noisette, Les Inrockuptibles
Keersmaeker, dont on connaît à la fois la passion rationnelle et le mysticisme, trouve dans ce dispositif – groupe de danseurs, solistes et chanteuse – un lieu pour déployer une œuvre mystique, aussi fluide que mystérieuse. Oriane Jeancourt Galignani, Transfuge
Un miracle apaisant, chargé de mélancolie, une délicatesse qui n’est pas fragilité, et qui tient bon, malgré l’ouragan. Rosita Boisseau, Le Monde
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