Carmen
Carmen
Carmen

Carmen

pour le 150e anniversaire de la création de l’un des opéras les plus joués dans le monde
réservez

l’histoire

Immense succès de l’opéra de Nice et d’anthéa, Le Carmen mis en scène par Daniel Benoin revient sur la scène antiboise. À la suite d’une bagarre avec d’autres cigarières, Carmen, une ardente bohémienne, est mise en prison par le brigadier Don José qui doit épouser la chaste Micaëla. Carmen promet au militaire de l’aimer s’il la laisse s’évader et il accepte. Mis aux arrêts, il déserte, rejoint Carmen et sa troupe de contrebandiers. Mais la bohémienne se lasse bientôt de lui. Seule Micaëla parvient à ramener Don José au chevet de sa mère mourante. Elle ne peut cependant empêcher que les deux amants se revoient une dernière fois et n’accomplissent la funeste prévision des tireuses de carte : la mort pour l’un et l’autre.

ce qu’ils en disent

Aborder l’opéra le plus joué au monde est une gageure que tout metteur en scène a envie de gagner. Et pour peu que le duende soit un sentiment qui vous habite et l’Andalousie une sorte de deuxième patrie, Carmen devient alors une évidence. Les vagues de puritanisme ont bien souvent cherché à noyer la sensualité, la franchise, le désir, qui s’expriment sans fard dans l’œuvre. Ce projet fait son chemin en moi depuis longtemps. Je l’ai imaginé dans un opéra à l’italienne, dans un stade ou des arènes et, bien sûr, sur la scène d’anthéa. C’est finalement l’Opéra de Nice qui m’a proposé de le réaliser. J’ai aussitôt demandé qu’il soit aussi joué dans notre théâtre, dans la continuité, pour devenir ainsi un projet commun qui lierait les deux institutions à travers une coproduction. Daniel Benoin

ce qu’ils en pensent

Metteur en scène insatiable et passionné, Daniel Benoin relève avec brio le défi de Carmen. Côte Magazine
La mise en scène, sur fond de guerre civile et de sacrifice mythique d’une Espagne transfigurée, rend hommage à l’un des opéras les plus joués au monde, en ce qu’il fait surgir le changement, la liberté, la rupture, de la permanence, du rituel et de la clôture. Le spectacle ne tombe pas dans le réalisme historique ou décoratif par sa clôture temporelle et géographique, mais lui ouvre un champ fécond d’analogies. Florence Lethurgez, Olyrix
La mise en scène de Daniel Benoin se fonde sur une transposition dans le temps en parfaite adéquation avec le thème majeur de l’œuvre : la liberté. Le pari de cette Carmen dont le cœur bat au souffle républicain tient la route. Caroline Alexander, Webthéâtre
réservez abonnez-vous