Mummenschanz, 50 Years
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Mummenschanz, 50 Years

la tournée des tournées
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l’histoire

Depuis sa création en 1972, la troupe de Mummenschanz (« mime » et « chance ») propose un théâtre à nul autre pareil où les objets du quotidien prennent vie en un miracle toujours renouvelé. Ni paroles ni musique, tout se joue devant un fond noir grâce à de surprenants effets visuels, des masques et des gestes. Il en émane une poésie du silence singulièrement envoûtante qui a parcouru le monde avec un succès jamais démenti. Le cinquantième anniversaire de Mummenschanz est l’occasion d’offrir au public un best-of des meilleurs numéros de la troupe, choisis parmi le vaste répertoire qui s’est constitué au fil des années. Ce qui n’empêche pas de nouvelles créations car de jeunes talents ont su prendre le relais, insufflant à la troupe toute l’énergie et l’enthousiasme dont elle fait preuve depuis plus d’un demi-siècle.

ce qu’ils en disent

C’est important d’être assis dans une salle ensemble et de pouvoir rêver et oublier pendant deux heures. Ce que nous faisons c’est au-delà de la musique, c’est la musique intérieure et c’est aussi la liberté d’entendre la musique du public. Les émotions n’ont pas changé : je t’aime, je t’aime pas, je t’écoute, je t’écoute pas. C’est splendide. Floriana Frassetto

ce qu’ils en pensent

Depuis 1972, ils demeurent des enchanteurs qui réussissent le rare prodige de mettre enfants et adultes dans le même état d’étonnement, d’interrogations, d’émerveillement. À partager en famille ! Armelle Héliot, Le Figaro
Entre l’invitation liminaire des géantes mains gantées de blanc, les spasmes métalliques des tuyaux monstrueux et les douces caresses échangées voluptueusement entre deux êtres de papier toilette, le public est convié à un formidable hymne à l’amour. Tout vibre et frissonne de vie. Dominika Waszkiewicz, Un fauteuil pour l’orchestre
Du mime, oui, mais hybridé par le théâtre d’objets et la marionnette. Troquant le langage et les expressions du visage pour des costumes abstraits ou humanoïdes, ils trouvent un dialecte universel qui circule de Séoul à Bogota, Rio, Sydney... Christelle Granja, Libération

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