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L'Idéal club

L'Idéal club

le spectacle culte des monty python français
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La reprise par les 26 000 couverts de leur spectacle total et culte de 2010 est sans doute le meilleur remède qu’on pouvait espérer pour se soigner de la morosité ambiante.

Représentations
  • mercredi 20 mars 2024 à 20h30
  • jeudi 21 mars 2024 à 20h
bourse des spectateurs covoiturage
comédie musicale
2h50 avec entracte
salle Jacques Audiberti
placement fauteuil (numéroté) et coussin (placement libre)

mise en scène Philippe Nicolle
écriture collective sous la direction de Philippe Nicolle

avec Kamel Abdessadok, Christophe Arnulf, Sébastien Bacquias, Servane Deschamps, Aymeric Descharrières, Olivier Dureuil, Florence Nicolle, Philippe Nicolle, Daniel Scalliet

assistante mise en scène Sarah Douhaire
régie générale Daniel Scalliet
son Anthony Dascola
lumières Thomas Parizet
plateau Michel Mugnier, Laurence Rossignol
décor Michel Mugnier
avec l’aide d’Alexandre Diaz, Noémie Sauve
costumes Sophie Deck, Laurence Rossignol
avec le soutien de Camille Perreau
coordination Lise le Joncour
administration Marion Godey
assistée de Catherine Euvrard
production, diffusion Claire Lacroix

production 26000 couverts
coproduction l’Atelier 231, CNAREP de Sotteville-les-Rouen, le Parapluie, CNAREP d’Aurillac, le Channel Scène nationale de Calais, L’Abattoir, CNAREP de Chalon sur Saône, les Ateliers Frappaz, CNAREP de Villeurbanne

spectacle organisé dans le cadre du Festival les Nuits d’Antibes avec le soutien du Casino JOA La Siesta

l’histoire

Que ce soit sous chapiteau, dans la rue ou en salle, depuis plus de vingt ans, la troupe des 26 000 couverts promène sa bonne humeur de ville en ville. Sous la houlette de Philippe Nicolle, baladin du monde occidental et philosophe du rire, ils installent partout en France des spectacles dont la simple énumération est déjà un programme : Les Petites commissions, Premier championnat de France de N’importe Quoi, Jérôme et Marie acceptent la carte bleue, Véro Ire, reine d’Angleterre, À bien y réfléchir et puisque vous soulevez la question il faudra quand même trouver un titre un peu plus percutant, etc. L’Idéal club n’échappe pas à cette exigence comique et on y trouve son lot de « pulsions satiriques débridées, burlesque dévastateur et poésie brute ». Guidés par l’amour du public, ces farceurs se donnent pour but de « bousculer joyeusement la routine en réveillant les esprits anesthésiés ».

ce qu’ils en disent

L’Idéal Club, c’est juste pour (se) faire du bien. On serait pendant ces deux heures tous tellement bien ensemble, réconciliés, qu’on en oublierait presque de se prendre la tête à deux mains devant la crise. On oublierait de se plaindre et de pleurer le monde. On rirait de tout et de rien. On se tromperait de paradis. On se ferait plaisir. On reprendrait Johnny Cash, Rammstein ou les Floyd. On s’amuserait avec nos jouets, avec nos invités, comme au Muppet Show. On se ferait voler des micros et des colombes. On dresserait les plantes vertes et les ampoules. On jouerait de la batterie et de la tronçonneuse, de la flûte à bec en santiags. On boirait de la bière. On donnerait des cours de barbecue. On ferait une vraie section de cuivres. Un groupe de death metal avec des ukulélés. On inventerait l’Air-magie et la pause clope. On battrait un Sioux au badminton. Tout s’écroule ? Rions-en ! Philippe Nicolle

ce qu’ils en pensent

Accompagnés de leurs quatre formidables musiciens jazz-rock, les 26 000 couverts n’ont pas leur pareil pour nous faire rire de tout et de rien, le rien étant parfois le tout, et inversement. Ça fait du bien. Fabienne Darge, Le Monde
Imaginée par Philippe Nicolle, L’Idéal Club est une œuvre brute, drôle, moderne et fourmillante qui se fait et se défait sous nos yeux. Pierre Siankowski, Les Inrockuptibles
Des gags totalement hilarants ; la fluidité de la mise en scène, une grande qualité musicale, une efficacité comique dont le corps, épuisé par le rire, témoigne. Un spectacle qui rend heureux. Jean-Jacques Delfour, Cassandre
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