G.R.O.O.V.E.
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après l’ouverture du festival d’avignon 2023, c’est la rue qui danse à tous les étages d’anthéa
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l’histoire

Le spectacle G.R.O.O.V.E. a été longuement mûri. Né en mai 2019 au Palais de la Porte Dorée lors de la Nuit européenne des Musées, il s’est enrichi en 2020 pendant l’exposition « Opéra Monde, la quête d’un art total » au Centre Pompidou-Metz. Et bien sûr l’expérience des Indes galantes, en 2019, à l’Opéra de Paris, a été décisive. La chorégraphe Bintou Dembelé, à l’invitation du cinéaste Clément Cogitore, y proposait une relecture hip-hop de l’oeuvre de Rameau. G.R.O.O.V.E. se présente ainsi comme la quintessence d’un travail chorégraphique au long cours. C’est une performance déambulatoire, ici et maintenant, scandée également par des vidéos des spectacles précédents. Le soin apporté à la lumière installe l’ambiance de la rue sur le plateau. Le street dance peut alors tout emporter dans un flot d’énergie auquel, en conclusion, le public lui-même est convié à se mêler.

ce qu’ils en disent

Le groove, ça commence par un contexte, un environnement sonore, une ambiance, un rythme qui s’installe on ne sait comment, un instant à saisir, à suspendre. Certains le vivent de l’intérieur, d’autres le visualisent ou le kiffent tout simplement. Moi je l’habite, ça ne s’explique pas. Égoïsme pur, un moment qui nous appartient et marque le tempo, mais qui au bout d’un temps, invite au partage. On est ensemble, on se célèbre, d’un regard, d’un geste, ou d’une syncope. Bintou Dembélé

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