Madama Butterfly
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Madama Butterfly

l’opéra mis en scène par daniel benoin le plus joué et repris dans 7 opéras en France et à l’étranger
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l’histoire

Le lieutenant de Marine américain Pinkerton va épouser Madame Butterfly. Sharpless, le consul américain à Nagasaki désapprouve le caprice de Pinkerton et la légèreté de son comportement car la jeune geisha, elle, est sincèrement éprise du lieutenant. Elle décide même de renoncer à la religion de ses ancêtres et d’adopter la sienne. Pour cela, elle sera reniée par sa famille. Trois ans ont passé. Butterfly, pleine d’espoir et de confiance, attend toujours Pinkerton. Elle est certaine qu’il hâtera son retour...

ce qu’ils en disent

Madame Butterfly est l’un des derniers opéras de Puccini, une sorte de pont entre La Bohème et Turandot, entre la simple histoire d’amour impossible à cause de la maladie et la tyrannique impératrice qui aime malgré elle. Dans Madame Butterfly, pas de maladie ou d’excès de pouvoir mais un vrai conflit de cultures, un choc de civilisations. Que l’envahissement américain soit celui de la fin du XIXe siècle, époque à laquelle Puccini situe son opéra, ou quand le conflit devient terrifiant (1941-1945), l’histoire est la même : un officier américain vainqueur face à une jeune Japonaise fascinée par l’homme, sa prestance, sa victoire et prête à tout sacrifier à son bonheur interdit. J’ai préféré choisir le Nagasaki d’août 45, après la bombe A, à celui d’après les coups de canon du cuirassé Abraham Lincoln. Les tensions sont plus fortes, le drame plus extrême, le folklore moins présent. Daniel Benoin

ce qu’ils en pensent

Cette mise en scène et les lumières conçues par Benoin ont le mérite d’être suffisamment pudiques et épurées pour s’effacer derrière la force des sentiments et la présence de l’extraordinaire musique de Puccini. Philippe Depetris, Nice-Matin
Le résultat est grandiose et cela donne une Madama Butterfly apocalyptique totalement inédite. WebTimeMedias
C’est dans le cadre du drame de Nagasaki en 1945 que le metteur en scène Daniel Benoin a transposé d’une force inouïe. À la fin, ce n’est pas une bombe qui explose, mais les bravos. André Peyregne, Nice-Matin
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