LE MALADE IMAGINAIRE

LE MALADE IMAGINAIRE

la maison de molière en parfaite santé
Alerte info : en raison des conditions météorologiques, nous sommes au regret de devoir annuler les représentations du Malade Imaginaire ainsi que de l’IMMERSION ce soir, 23 novembre. Vous pouvez bien sûr vous faire rembourser.

Pour le remboursement, il y a deux cas de figures :

- vous avez des billets papiers. Il vous suffit de nous les envoyer par courrier ou de nous les apporter à la billetterie d'anthéa accompagnés d’un R.I.B.

- Vous avez des billets virtuels. Dans ce cas, il vous suffit d'envoyer un R.I.B. par courriel à billetterie@anthea-antibes.fr.

Dans tout les cas, il est impératif de nous faire parvenir un RIB car les remboursements sont effectués par virement.

Nous vous remercions pour votre compréhension.



l’histoire |

Argan, veuf, est remarié à Béline qui n’attend que la mort de son mari pour hériter, tandis que celui-ci multiplie saignées, purges et ingère toutes sortes de remèdes. Angélique, sa fille, veut épouser Cléante, mais Argan préférerait avoir pour gendre Thomas Diafoirus, il disposerait ainsi d’un médecin à demeure… La mise en scène de Claude Stratz (1946 - 2007) a été créée en 2001 par les Comédiens-Français, elle est depuis régulièrement reprise.

ce qu’ils en disent |

Le Malade imaginaire a suscité les interprétations les plus contradictoires : on a joué Argan malade, on l’a joué resplendissant de santé ; on l’a joué tyrannique, on l’a joué victime ; on l’a joué comique, on l’a joué dramatique. C’est que tout cela y est, non pas simultanément mais successivement. Molière propose une formidable partition, toute en ruptures, toute en contradictions où le comique et le tragique sont étroitement imbriqués l’un dans l’autre, où ils sont l’envers l’un de l’autre. Derrière la grande comédie qui a intégré certains schémas de la farce, on découvre l’inquiétude, l’égoïsme, la méchanceté, la cruauté. Claude Stratz

ce qu’ils en pensent |

Quelle austère harmonie, quelle élégance dans les costumes et le décor d’Ezio Toffolutti ! D’emblée, on est sous le charme d’une vision noire et poétique. Très réussis : les intermèdes chantés et dansés par des Polichinelles. Bravo à Claude Stratz et à toute la troupe ! Frédéric Ferney, Le Figaro
Ce Malade est beau comme une danse de masques au crépuscule, poignant comme le paraphe du mourant au bas de son testament et joyeux comme une farce faite à un vieil oncle grincheux. La force de la lecture de Stratz ? Avoir pris au pied de la lettre la maladie d’Argan, sans sacrifier la vitalité du rire, le bonheur des lazzis. Alexandre Demidoff, Le Temps
Un vrai bonheur. Stratz s’est complu à faire vibrer chaque harmonique de la dernière pièce du maître de l’Illustre-Théâtre. Formidable, vous dis-je. Du vrai théâtre. Jean-François Bouthors, La Croix
2019
2020