le syndrome de l’écossais

le syndrome de l’écossais

lhermitte et campan passent à table

l’histoire

Bruno, auteur à succès, et son épouse Florence dont c’est l’anniversaire ont invité Sophie, la sœur de Florence, et Alex, son mari, un homme d’affaires. Bruno ne supporte pas son beau-frère et, dans le salon cosy de l’écrivain, la soirée entre les deux couples, alcool et médicaments aidant, se transforme en une nuit déjantée où les non-dits se font entendre. L’anniversaire part en live et Alex en vrille, voici qu’il croit voir un Ecossais dans le placard d’où semblent sortir des tas de secrets. Puisque rien ne se passe comme prévu autant aller un cran plus loin dans l’imprévu : soyons fous !

ce qu’ils en disent

Il y a toujours un canapé dans un salon. De l’alcool aussi : tous deux permettent de prendre ses aises. Dans ce cadre confortable il n’y est jamais question de l’anniversaire, mais uniquement de la vie. Comme toujours dans les salons. La vie derrière soi, celle qu’on tire ou qui nous pousse, mais aussi la vie devant soi, celle à venir et qui se fait attendre, vie nouvelle que l’on veut renaissante, génératrice... On rit évidemment dans le salon, mais on peut s’y battre aussi, s’effondrer et pleurer... Il arrive même que l’on se perde entre ses murs, que l’on y devienne fou, saisi par des délires inexplicables. Un salon peut se refermer sur lui- même : chacun alors y règle ses comptes avec l’autre. Il peut arriver que l’on sorte du salon, mais sans le quitter. Mais pour cela il faut savoir où se niche le bonheur. Hors du salon ? Ça ne fait aucun doute, mais loin, très loin de lui ! Il est donc possible de s’évader d’un salon ? Parlons-en : c’est toute une comédie. Jean-Louis Benoit

ce qu’ils en pensent

Bernard Campan est hilarant en chef d’entreprise arrogant soudain transformé en bébé fragile et Thierry Lhermitte excelle en écrivain fliqué par sa femme. Quant à leurs partenaires féminines, elles apportent une profondeur bienvenue à ce choc de névroses. Thierry Dague, Le Parisien
Thierry Lhermitte a beaucoup de charme et son talent fait merveille. Bernard Campan compose un vieux beauf assez cocasse. Nos deux vedettes s'en donnent à cœur joie ! Jean- Luc Jeener, Le Figaroscope
2016
2017