hyacinthe et rose

hyacinthe et rose

le pouvoir de françois morel

l’histoire

C’est le récit d’une enfance, celle d’un petit parisien en vacances à la campagne. François Morel s’invente des grands-parents que tout oppose et que la passion des fleurs réunit : elle croit en Dieu, il croit à Marx, ils jardinent ensemble et cultivent l’art d’être grands-parents. Il n’est pas seul en scène : avec le musicien Antoine Sahler, ils font défiler les figures qui ont peuplé ce passé et ressuscitent les airs d’un temps qu’on ne voudrait pas oublier.

ce qu’ils en disent

Un jour, Martin Jarrie, peintre, illustrateur m’a fait visiter son atelier. Sur les murs, étaient exposés des grands portraits de fleurs. Pour les accompagner dans un livre, j’ai écrit un texte.
J’ai tenté d’associer chaque fleur à un souvenir d’enfance. À l’occasion de lectures publiques, j’ai remarqué que cette enfance pour partie imaginaire, trouvait des échos chez de nombreux auditeurs, surpris que leur propre histoire, un peu condensée, un peu déplacée, comme dans des rêves, puisse être racontée et même susciter un intérêt ému, réjouissant. François Morel

ce qu’ils en pensent

François Morel est accompagné d’un musicien, Antoine Sahler, au piano et à toutes sortes d’instruments : tuba, clochettes, trompette... Cette présence, la légèreté de la mise en scène, le fond de scène habité de cieux, tout s’associe pour faire de cette parenthèse d’humanité un moment suspendu. Annie Chénieux, Le Journal du Dimanche
L’auteur a mis tout son cœur dans cette évocation sensible et tendre, parfois espiègle. C’est un joli moment. Armelle Héliot, Le Figaroscope
La passion fait oublier le temps qui passe. Vous sortez du théâtre avec une douceur de vivre et l’envie d’aller acheter tous les bulbes à la jardinerie. [...] Cette pièce est un traitement préventif pour nous dire qu’il faut se réinventer et conquérir sans cesse le temps, et que nos corps changent et évoluent. Patrick Pelloux, Charlie Hebdo
2015
2016