solo

solo

le phénomène arturo brachetti

l’histoire

Dans Solo, Arturo Brachetti nous ouvre les portes de sa maison d’enfance pleine de souvenirs et de fantaisies ; une maison hantée sans adresse et hors du temps qui symbolise cette boite à souvenirs que chacun possède, cachée au fond de soi. Pour accéder à cet imaginaire, Brachetti emprunte un chemin illusionniste, mettant en scène des disciplines dans lesquelles il excelle : les ombres chinoises, le mime ou la chapeaugraphie, mais aussi des nouveautés surprenantes... Le transformisme, cet art qui l’a rendu célèbre dans le monde entier et qu’il complète avec 50 nouveaux personnages, sera encore une fois l’occasion d’une féerie.

ce qu’ils en disent

Ce nouveau spectacle découle d’une nécessité. Je me suis dit que je devais faire tout seul un one-man-show avant qu’il ne soit trop tard. Tant que j’ai le physique pour le faire, à l’aise, trente à cinquante personnages avec une heure et demie d’adrénaline et d’aérobic très serrée. Je me transforme, je fais des tours de magie, je dessine des ombres chinoises ou des dessins sur le sable que vous découvrez sur grand écran… J’exploite aussi les techniques du laser d’une façon poétique avec l’ombre de Peter Pan qui veut le faire redescendre sur terre alors que, lui, il veut voler. Solo se présente sous la forme d’un best-of dans lequel on retrouve tous les personnages à mon actif mais aussi la magie, le cirque. Bref, c’est un véritable tour complet du spectacle vivant. Arturo Brachetti

ce qu’ils en pensent

Une prestation pleine d’humour, de poésie et de surprises. De quoi retrouver, quatre-vingt dix minutes durant, son âme d’enfant et, franchement, cela fait un bien fou ! Michèle Bourcet, Télérama
Ce moderne Fregoli nous invite à le suivre dans la maison de son enfance, une maquette qu’explore une caméra miniature et dont chaque porte poussée est le prétexte d’une métamorphose instantanée. Chapeau, Arturo ! Le Canard enchaîné
L’Italien varie les plaisirs et abandonne les nombreux effets spéciaux ou vidéo pour gagner en simplicité. Et en profondeur. Avec trois fois rien, il renoue élégamment avec la magie et la poésie. Sylvain Merle, Le Parisien

2018
2019