la face cachée de la lune

la face cachée de la lune

pink floyd ressuscité

l’histoire

L’album le plus emblématique des Pink Floyd, aujourd’hui encore dans les meilleures ventes de tous les temps, n’avait jamais pu être joué sur scène par le groupe. En 1973, cette prouesse acoustique ne pouvait être réalisée qu’en studio. Quarante ans plus tard, le public peut assister à l’intégralité de Dark Side of the Moon, interprété en direct par neuf musiciens qui ont mené un véritable travail d’archéologues de la musique pop-rock électroacoustique. Ils ont retrouvé les instruments d’origine et ausculté la partition dans ses moindres détails. Mais ils s’autorisent aussi quelques improvisations car leur entreprise n’est pas seulement patrimoniale. Résurrection fidèle et création subtile, La face cachée de la Lune inscrit la musique des Pink Floyd dans le répertoire classique.

ce qu’ils en disent

Quand j’avais treize ans, mon grand frère m’a mis un casque sur les oreilles pour me faire écouter cet album : je garde un souvenir très précis de ce jour-là... Le mélange de chansons pops et des synthétiseurs a marqué mon rapport à la musique. [...] Quand on s’intéresse au son, on se rend compte que cet album est allé très loin et que les Pink Floyd eux-mêmes n’ont jamais retrouvé ce rendu sur scène. Thierry Balasse

ce qu’ils en pensent

Au fil d’un set ponctué d’improvisations bien vues et de compositions originales de Balasse, les secrets de l’enregistrement du disque culte se révèlent. Plus qu’un concert, une expérience sonore singulière. Frédéric Péguillan, Télérama
Un an de travail de documentation, d’écoutes, de préparations sur les instruments d’origine aura d’abord été nécessaire. [...] Au sortir des répétitions, cette face cachée aura fait entendre son exactitude. Sans que l’on sente un rendu froid et mécanique. Sylvain Siclier, Le Monde
Tous restituent le son d’une époque dans ce spectacle également visuel, grâce à des caméras placées sur scène de façon à guider l’attention du public... Après quoi, la lune n’aura plus de secret. Jean-Yves Dana, La Croix
2016
2017