Monarques

Monarques

une épopée fascinante et délicate, un grand spectacle visuel !

l’histoire

Envolez-vous pour suivre deux odyssées fabuleuses et terribles. Celle d’un parapentiste qui, pour faire connaitre au monde le déclin des papillons Monarques, s’est envolé avec eux, et les a suivis dans leur migration, du Canada jusqu’à leur sanctuaire, une forêt de sapins dans les montagnes du Mexique. Quand les grands froids arrivent, ces êtres de 0,5 grammes traversent un continent entier, luttant contre les tempêtes, les prédateurs, les maladies... En parallèle nous est racontée l’histoire d’un migrant à bord d’un train de marchandises qui traverse le Mexique jusqu’à la frontière américaine. Des réfugiés de toute l’Amérique du Sud et d’Afrique s’accrochent à ces wagons, montent sur son toit. Beaucoup meurent de cet espoir. Le papillon monarque est devenu leur symbole. Une pièce bouleversante, à ne pas manquer.

ce qu’ils en disent

Au milieu des années 1990, c’était un milliard de Monarques qui migraient encore. L’année dernière, ils n’étaient plus que 35 millions, à cause des pesticides, des dérèglements climatiques, de la déforestation. Mais ces papillons ont leurs protecteurs. Et parmi eux mon héros parapentiste : Il a grandi au Canada, a vu leur extinction, les prairies sauvages de son enfance dépeuplées des papillons qui les habitaient autrefois. Je croiseraicette odyssée avec celle d’un migrant de «La bestia». Je raconterai ces deux traversées. Du Nord au Sud, du Sud au Nord. Je voudrais faire un spectacle comme une ode à ces êtres humains et à ces millions de papillons. Une ode à l’extrême fragilité du vivant, et de nos enchantements. Et célébrer tous les migrateurs, humains et non-humains. Emmanuel Meirieu

ce qu’ils en pensent

Cette oeuvre est un carrefour, où tout ne fait que s’entrecroiser, où le vivant et les vivants, les vivants et les morts, les Hommes et les animaux sont puissamment soudés, et où, dans une société où tant concourt à diviser, Emmanuel Meirieu s’emploie, une nouvelle fois, à réunifier. Vincent Bouquet, SceneWeb
Un voyage fascinant, une ode délicate où espoirs et difficultés, résistance et résilience, se sont unis et confondus. Le Télégramme