Une nouvelle coproduction d’anthéa où l’on retrouvera sur scène Benoît Solès, Rod Paradot, Pauline Lefèvre et Olivier Sitruk.
Représentations
samedi 27 septembre 2025 à 21h
mardi 30 septembre 2025 à 20h30
mercredi 1er octobre 2025 à 21h
jeudi 2 octobre 2025 à 20h30
théâtre tarif événements déconseillé aux moins de 16 ans salle Pierre Vaneck
texte de Tracy Letts
adaptation Patrice Costa, Sophie Parel
mise en scène Patrice Costa
avec Benoit Solès, Rod Paradot, Pauline Lefèvre, Olivier Sitruk, Carla Muys
avec la participation musicale de Neil Chablaoui
lumière Denis Koransky
costumes Mélisande de Serres
scénographie Georges Vauraz
chorégraphies Sophie Mayer
musiques Yann Coste
collaboratrice artistique Sophie Nicollas
production Tcholélé Théâtres
coproduction anthéa, théâtre d’Antibes
l’histoire
Chris Smith, minable petit dealer, doit trouver d’urgence 6 000dollars. Il vient d’être mis à la porte par sa mère, Adèle, et trouve refuge chez son père, Ansel, qui vit dans un mobil-home avec sa fille de 20 ans, Dottie, et sa nouvelle femme, Sharla. Chris a un plan : récupérer les 50 000 dollars d’une assurance- vie que sa mère a contractée. Chris et Ansel se mettent alors en tête d’éliminer Adèle. Ils contactent un tueur à gages, Killer Joe Cooper. Seul hic : Joe se fait payer d’avance, et ne cède pas sur ce principe, jusqu’à ce qu’il rencontre Dottie. Le tueur accepte alors d’être payé sur l’argent de l’assurance s’il peut « jouer » avec Dottie. Chris et Ansel acceptent…
ce qu’ils en disent
Killer Joe se déroule au sein de la plus basse des classes sociales américaines. Là où les petites combines distancent la misère, où la culture n’entre pas et la télé, trônant tel un « messie-dealer « de la condition humaine, proclame paradis et bonheur en la surenchère d’achats idiots. J’envisage Killer Joe telle une fable de la vieille Égypte transposée au pays des cowboys cracheurs de chique. C’est une « pesée des coeurs » par le dieu Anubis, une descente aux enfers dans un long tunnel. Cela parle du choix, du combat qu’il implique et de l’innocence bafouée par les dérives d’une humanité aveugle. Patrice Costa