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Foutue Bergerie

Foutue Bergerie

pierre guillois, l’excellence de l’irrévérence
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Le retour très attendu du concepteur des succès Bigre, Dans ton coeur et Les Gros patinent bien.

Représentations
  • mercredi 10 décembre 2025 à 20h30
  • jeudi 11 décembre 2025 à 20h00
bourse des spectateurs covoiturage
théatre
conseillé à partir de 16 ans
1h45
salle Jacques Audiberti
texte et mise en scène Pierre Guillois
assistante à la mise en scène Lorraine Kerlo Aurégan
avec Cristiana Reali (la Mère, la brebis Massachusset, la rédactrice en chef), Marc Bodnar (le Paysan, le bélier Jean-Christophe), Anna Fournier (Kimberley la journaliste, la brebis Pervenche, les volatiles de la basse-cour), Lucie Gallo (Chloé, la Gendarmette, la brebis Mauricette), Simon Jacquard (Etienne, la brebis Chewing-gum), Kevin Perrot (Lucas, le Gendarme, la brebis Anastasia), Yanis Chikhaoui (Jamel, la brebis Chloroforme)

scénographie Camille Riquier
costumes Axel Aust, assisté de Camille Pénager
lumières Jérémie Papin
création sonore Loïc Le Cadre
décor ateliers de construction de La Maison de la Culture de Bourges
direction technique Colin Plancher
production Compagnie le Fils du Grand Réseau
coproductions Théâtre de Cornouaille, scène nationale de Quimper ; Les Quinconces & l’Espal, scène nationale du Mans ; Théâtre Gymnase-Bernardines, Marseille ; MC2 : Maison de la Culture de Grenoble - Scène Nationale ; Maison de la culture Bourges/Scène nationale ; La Comédie de Picardie, Amiens
soutiens Ministère de la Culture – Fonds de production ; La Région Bretagne ; Avec la participation artistique du Jeune théâtre national et avec le soutien du dispositif d’insertion professionnelle de l’ENSATT
Remerciements Julie Darfeuil, Emmanuel Châtelain, Sylvie Bouguennec, l’équipe technique du Théâtre de Cornouaille, scène nationale de Quimper, l’équipe technique des Quinconces et L’Espal, scène nationale du Mans

La Compagnie Le Fils du Grand Réseau est conventionnée par le Ministère de la Culture – DRAC de Bretagne et soutenue par la Ville de Brest

l’histoire

Une ferme à la lisière de la ville. Des moutons qui causent de micropénis et de scandale sanitaire. Le fantôme d’un fils pendu dans la grange qui hante la mémoire des parents dévastés. Un frère en conflit avec ce mort, en conflit avec le monde. Un jeune stagiaire maghrébin comme un agneau parmi les loups. Des pitbulls qui déchiquètent les moutons, et une pigiste aux dents longues qui veut en découdre avec le groupe chimique responsable du drame familial… Quelques cauchemars plus tard peuplés de cadavres et de policiers passifs, et après quelques parties de fesses dans le foin, les champs destinés à devenir des lotissements racontent une France aux abois face à la marche dingue du monde.

ce qu’ils en disent

C’est depuis mes années passées dans les Vosges que je rêvais d’écrire un drame rural. Mon père et tous ses copains sont morts vers soixante ans. Des gens sobres, balayés par des maladies modernes. Ces décès prématurés ont-ils un rapport avec ce qu’on a mis dans nos assiettes pendant des décennies au nom de la modernité ? Personne ne le saura. Ce qui m’intéresse avec ce drame empli de farce, c’est d’inviter la campagne à se faire une place dans le théâtre, chargée de problématiques qui enjambent l’aspect social ou environnemental strictement rural, en mettant en scène un monde paysan entraîné dans les soubresauts du siècle, pris dans des contradictions voisines du monde citadin, mais avec l’âpreté et la solitude propre au monde paysan, au rapport trouble à la terre, à l’animal, à la mort. Pierre Guillois

ce qu’ils en pensent

Un théâtre phénoménal et populaire dans le meilleur sens du terme, qui provoque l’hilarité. Sceneweb
Pierre Guillois, c’est un style toujours irrévérencieux et des spectacles totalement déjantés et atypiques. L’oeil d’Olivier
Il a plusieurs spectacles à l’affiche et tous affichent complets : ses spectacles toujours truculents font l’unanimité du public. Le Figaro
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