Waly Dia - Une heure à tuer

Waly Dia - Une heure à tuer

un phénomène d’humour nommé au molières 2025

l’histoire

Waly Dia est un génie du rire et des répliques cinglantes. Après le triomphe de son spectacle « Ensemble ou rien », l’humoriste, qui officie aussi comme chroniqueur sur Mediapart, revient enfin, et son projet est clair : « Accordez-moi une heure, je me charge du reste ». Waly Dia monte sur scène comme sur un ring : combatif, provocateur, charmeur et plein de malice. Son subtil sens de l’observation du monde qui nous entoure et de l’actualité nourrissent des punchlines aussi acides que percutantes. Une attitude et un humour sans concession qui, associés à son débit de mitraillette, font sa marque de fabrique. Un regard, des vannes implacables, un spectacle rythmé et ultra-efficace : une heure de rire et d’engagement, à ne surtout pas manquer !

ce qu’ils en disent

J’aime les sujets qui divisent… Je traite du féminisme, racisme, sexisme, les conflits à travers le monde, du gouvernement… L’expérience a prouvé que je pouvais aller sur tous les terrains. Maintenant je ne suis pas dans la provocation gratuite. Je ne connais pas le tabou. Quand je ne suis pas très sûr de moi sur un sujet, j’attends, je ne suis pas pressé. Je ne me considère pas comme engagé, je fais des vannes je ne sauve pas des vies. Je suis un humain comme tout le monde et j’ai un avis. Pour moi, les hommes politiques sont engagés, ils ont pris des engagements qu’ils doivent tenir et ce n’est pas ce qu’ils font. Le pouvoir a peur des vannes. À partir du moment où on est un gouvernement qui a peur de blagues, ça veut bien dire qu’on est sur des bases absolument fragiles. La liberté elle vient des gens. N’importe quel artiste qui reste libre, soutenez-le, c’est important. Waly Dia

ce qu’ils en pensent

Waly Dia cisèle chacune de ses phrases et transforme la vanne politique en arme fédératrice. L’Humanité
Encore plus politique et rebelle qu’à son habitude, le chroniqueur […] s’en donne à coeur joie dans la critique, pêle-mêle, du macronisme, des élites, des policiers recrutés avec seulement 7/20 aux concours, des racistes qui ont micro ouvert, et passe en revue les nombreux mécontentements. Le public, comme épaté par son sens aigu de la répartie, lui réserve, à maintes reprises, des salves de rires et d’applaudissements. Le Monde
Waly Dia excelle à dézinguer l’actualité à coups de vannes corrosives. Drôle, cathartique et d’utilité publique ! Télérama