Christophe Alévêque - revue de presse

Christophe Alévêque - revue de presse

alévêque a souhaité faire sa revue de presse de fin de saison à anthéa

l’histoire

Il est méchant, il est lucide, il est drôlatiquement désespérant, et on adore ça ! On en redemande : une cuvée chaque année ! Dans ce monde qui parle trop, où chaque commentaire ne fait qu’obscurcir les sujets évoqués, Christophe Alévêque se sert de l’humour comme d’une arme de résistance, afin de tenter de clarifier, éclairer, révéler les absurdités, les compromissions et les aveuglements idiots de notre société. Don Quichotte désabusé, clown triste mais libre, lanceur d’alerte alerte et fin, il saura comme toujours nous offrir son regard lucide mais au fond plein d’espoir. Car il le sait, et nous le répète inlassablement chaque saison : nous faisons partie du monde et pouvons le changer, avec l’intelligence et la dérision !

ce qu’ils en disent

L’improvisation est un exercice extrêmement difficile. Je n’ai que quelques notes et, pour le reste, je me laisse aller. Au niveau de l’éloquence, ça se passe naturellement, les mots viennent de manière assez mystérieuse. Quand on écrit, on peut rester devant une page pendant deux heures à chercher les mots, le bon mot, y revenir, recopier, déchirer... Quand on est en scène, on y va. Il faut une confiance en soi assez folle. Il faut quelque part être inconscient. Il ne faut pas raisonner. Il faut prendre cette liberté que l’on a et la glorifier, la survolter ! Il ne faut pas avoir peur de se planter. Et le reconnaître si c’est le cas. Je le dis sans aucune pudeur, j’ai besoin de vous, de vos rires, de votre énergie, j’ai besoin de cette communion, pour que continue à vivre cette liberté. Venir au spectacle est devenu un acte de résistance, assister à un spectacle d’humour, un acte quasi politique. Le monde est absurde, le monde est devenu fou, je sais… Mais nous en faisons partie. Debout ! Christophe Alévêque

ce qu’ils en pensent

Exutoire face à la folie du monde, thérapie collective pour citoyens déboussolés, le spectacle de Christophe Alévêque, insolent et revigorant, tient sa promesse : on en ressort plus léger que quand on y est entré. Sandrine Blanchard, Le Monde
Christophe Alévêque, aussi pudique à la ville qu’énervé et impertinent sur les planches, le dit sans détour mais sans arrogance : « Je veux être acteur de la société ». Lutter, en dynamitant le bruit médiatique, contre les déclinistes et autres pessimistes, ces antimodernes qu’il déteste. France Info
Yeux facétieux, mèche rebelle, debout devant un pupitre, Christophe Alévêque promet de faire un tour exhaustif et objectif de l’actualité. Le spectateur ne boude pas son plaisir d’entendre tout haut ce qu’il pense tout bas. Nathalie Simon, Le Figaro