Alexandre Kominek - Bâtard sensible

Alexandre Kominek - Bâtard sensible

la nouvelle star de l’humour français

l’histoire


Imaginez... un mélange explosif de verve, d’énergie débordante et d’histoires complètement déjantées... vous obtiendrez Alexandre Kominek, la dernière pépite du stand-up venue tout droit de Genève. Déchaîné, il se dévoile sans filtre dans son spectacle, nous entraînant dans les méandres hilarants de sa vie de trentenaire accro au sexe, à la fête et aux aventures toutes plus folles les unes que les autres. Entre anecdotes croustillantes et réflexions décalées sur l’existence, il nous prouve qu’être un « dalleux » assumé peut être une véritable source de bonheur. Son humour piquant et sa capacité à jongler avec les sujets les plus délicats tout en nous arrachant des fous rires sont la promesse d’une soirée mémorable. À découvrir d’urgence !

ce qu’ils en disent


La scène, c’est le seul endroit où on peut être libre de cette façon. Si je le faisais dans la rue, on me prendrait pour un malade. C’est marrant, d’ailleurs, les gens me disent que je suis beaucoup plus calme dans la vie que pendant mon spectacle. Heureusement, parce que si je me frottais à leur genou pendant qu’on parle, il y aurait un problème. Donc oui, la scène, c’est un exutoire, c’est célébrer la liberté. Je suis bâtard et sensible, vanille et chocolat. Je n’ai pas de choix à faire. C’est pour ça que le spectacle s’appelle comme ça. Je suis bâtard parce que j’adore me moquer, être un peu poussif. Et sensible parce que vous savez, il y a un petit coeur au-dessus de cette bite. Alexandre Kominek

ce qu’ils en pensent


Son humour, perçu comme provocateur, se veut surtout un vecteur de messages subtils et réflexifs, et ce spectacle n’est pas seulement un enchaînement de blagues, mais une belle construction qui déconstruit les stéréotypes. Radio France
Son premier spectacle est à son image, fougueux et volontairement trash. Rossana Di Vincenzo, Télérama
Un stand-up qui génère des réactions en salles d’une intensité rare avec un public partagé entre rires, fous rires et… honte de rire ! Grégory Plouviez, Le Parisien