Alex Vizorek - en mode stand-up

Alex Vizorek - en mode stand-up

un cocktail détonant de rire et d’esprit

l’histoire

Après deux spectacles thématiques (Alex Vizorek est une oeuvre d’Art et Ad Vitam) à la mise en scène ambitieuse taillée pour les grandes salles, l’humoriste belge a décidé de partir une année en tournée avec seulement un pied de micro. Cette fois il se laisse la liberté d’improviser, de parler de l’ère du temps, de faire plus d’introspection, tout cela dans le cadre intime de plus petits lieux. « En mode Stand Up », à l’américaine, juste lui, une lumière et vous, pour aborder des thèmes allant de Spinoza aux problèmes d’érection d’un quarantenaire en passant par l’optimisation de la foi et la nostalgie de ses grandmères. Le tout évidemment avec pour unique but de vous faire rire, et si par malheur ça vous fait réfléchir… c’est pas un drame non plus !

ce qu’ils en disent

Pour mes chroniques télé ou radio, j’ai cette gymnastique quotidienne mais je me suis aperçu que ce n’était pas pareil d’écrire pour la scène. Il a fallu retrouver la fraîcheur de la création tout en ayant désormais 10 ans d’expérience… C’était à la fois plus « facile » (car je sais maintenant reconnaître quand une blague est mauvaise…) et déstabilisant de se jeter à nouveau dans un grand projet comme celui-ci. Ma passion, c’est la scène. C’est de là que je viens, c’est ce qui m’anime. Je défends mes mots, quand les gens rient sur scène, je sais que c’est grâce à moi. J’aime bien aller porter les mots des autres dans des films, j’adore travailler avec mes amis coauteurs à la radio pour écrire des blagues mais là où je mesens le plus légitime et le plus chez moi, c’est sur scène. Alex Vizorek

ce qu’ils en pensent

Élégant, populaire et érudit, jamais donneur de leçons, le grand « Vizo » fait à nouveau mouche, et on en redemande ! Rossana Di Vincenzo, Télérama
C’est chic et intelligent. Précis et désopilant. Pauline Conradsson, Le Parisien
Alex Vizorek creuse un sillon original et confirme sa capacité à jouer les intellos sans aucune arrogance. Il excelle ! Sandrine Blanchard, Le Monde