Stomp
Stomp

Stomp

le spectacle culte enfin de retour à anthéa !

l’histoire

Créé en 1991 par Steve McNicholas et Luke Cresswell, Stomp est un spectacle musical qui combine percussions et chorégraphies. Les artistes utilisent des objets du quotidien – balais, poubelles, seaux et autres tuyaux en plastique – pour créer des sons uniques. Ils frappent le sol, se frappent les uns les autres et manipulent différentes surfaces, faisant naître une symphonie de mélodies. Les spectateurs sont plongés dans un monde où les rythmes et les mouvements n’ont de cesse de percuter et faire vibrer le coeur et le corps. Une célébration de la créativité et de l’innovation artistique !

ce qu’ils en disent

Dans Stomp, le son et le mouvement sont toujours entrelacés. Ce n’est pas strictement une pièce de danse, même si les interprètes bougent en rythme, et ce n’est pas strictement une pièce de musique même si les interprètes font la musique... Mais le fait que les interprètes créent la musique sur laquelle ils se déplacent, en même temps, fait que les deux choses sont absolument liées. Vous devriez être capable de voir le rythme autant que de l’entendre. Le simple fait de faire de la musique à partir d’objets trouvés est en soi un acte de défi face au matérialisme. J’espère qu’au lieu de faire une déclaration politique, cela inspire d’une manière ou d’une autre les autres à regarder le monde d’une manière différente, à regarder le monde avec des yeux créatifs.

ce qu’ils en pensent

Les morceaux lents ou rapides, toujours enjoués, se succèdent suivant un ballet parfaitement synchronisé. La complicité entre les artistes bourrés d’énergie est palpable. Le final où ils sont accompagnés par un choeur conclut le spectacle en beauté. Nathalie Simon, Le Figaro
Trente ans après sa création, ce show britannique qui réunit huit percussionnistes hors normes reste éblouissant. Le Parisien
Époustouflant d’imagination et de virtuosité, drôle, voire carrément hilarant, Stomp réunit une bande de jeunes agités qui font du rythme avec n’importe quoi. Tout accessoire, objet du quotidien, affranchi de son utilité première, devient prétexte à rythmes dans leurs mains. Patrick Labesse, Le Monde