Eric Dupond-Moretti - J'ai dit oui !

Eric Dupond-Moretti - J'ai dit oui !

l’uppercut théâtral de l’ancien ministre de la justice !

l’histoire

Épris de justice et du contradictoire, Éric Dupond-Moretti décidait en 2019 de monter sur scène pour raconter ses trente-six années de carrière en tant qu’avocat et ténor du barreau. Après le triomphe de ce premier essai théâtral, et après quatre années passées à la tête du ministère de la Justice, il foule de nouveau les planches pour partager son expérience de ministre, et les coulisses de cette fonction, dans une mise en scène sobre et rythmée de Philippe Lellouche.

ce qu’ils en disent

J’ai eu envie de relater mes premiers pas, mes moments de joie comme mes phases de découragement, mes réussites et mes colères en tant que garde des sceaux. Je me suis dit qu’il serait utile et intéressant de décrire ce que sont le travail d’un ministre et les difficultés auxquelles il est confronté. Le réflexe, comme citoyen, c’est de dire : Y’a qu’à, faut qu’on. Mais comme ministre, il y a ce qu’on veut faire et ce qu’on peut faire. Je reviendrai également sur l’épreuve des perquisitions dans mon bureau et le Un témoignage riche et sans concessions sur les hautes sphères du pouvoir.procès devant la Cour de justice de la République, la pression médiatique, le travail au Parlement, ma campagne ratée aux régionales dans les Hauts-de- France où je voulais faire trébucher le RN… en réglant au passage quelques comptes ! J’ai des choses à dire, avec du recul, un peu d’humour et de dérision. Éric Dupond-Moretti

ce qu’ils en pensent

L’ancien garde des sceaux règle ses comptes avec une « époque folle », les médias et les magistrats. Un spectacle passionnant, qui nous instruit sur notre pays et sur l’exercice du pouvoir. Claire Gatinois, Le Monde
Un mélange d’humour et de gravité, dans lequel l’ancien ministre n’hésite pas à aligner ceux qui lui ont cherché des noises. Sylvain Merle, Le Parisien
Éric Dupond-Moretti, dont la présence est inaltérable dans un prétoire, sur un perron de ministère, comme sur les planches, déclame comme il parle ; comme si le texte n’existait pas et que tout lui venait ainsi, au naturel. Paule Gonzalès, Le Figaro