L'Impresario de Smyrne, scènes de la vie d'opéra

L'Impresario de Smyrne, scènes de la vie d'opéra

mascarade par laurent pelly, le metteur en scène de harvey avec la grande natalie dessay
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l’histoire

Le Vénitien Carlo Goldoni (1707-1793), réformateur de la comédie italienne, vivait au plus près des artistes dont il fit souvent le sujet de ses pièces pour moquer leurs manies, défauts, et séductions. L’Impresario de Smyrne commence à Venise au lendemain du carnaval. Lucrezia, jeune chanteuse florentine qui de son propre aveu « ne connaît pas grand-chose à la musique » est arrivée la veille. Elle dort encore même si « l’odeur du canal la dérange ». Carluccio le castrat cherche un nouveau contrat. L’argent manque… Entre divas capricieuses, imprésarios véreux, agents troubles, protecteurs retors, tous dénués de scrupule, les coulisses du théâtre s’imprègnent de l’odeur du canal. On apprend alors qu’un riche marchand turc a décidé de faire représenter un opéra chez lui et doit ramener à Smyrne le meilleur de la scène vénitienne. Une seule question importe : Qui sera engagé ?

ce qu’ils en disent

Nous imaginons ces Scènes de la vie d’opéra intemporelles et en musique - la pièce fut d’abord un opéra. À Venise, la musique était partout, le public y passait sa vie. Opéras, Théâtres, Tréteaux, Ospedale... Des Scènes de la vie d’opéra comme des bribes, des souvenirs. « Amarcord » … [...] Nous pensons ces Scènes de la vie d’opéra comme un burlesque hommage à ce Bûcher des vanités transcendé par la musique. Elle est le moyen souvent fragile et dérisoire, elle est la poésie et ce pourquoi ils sont là. Laurent Pelly et Agathe Mélinand
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