MON CORPS PALIMPSESTE

MON CORPS PALIMPSESTE

par éric oberdorff, le chorégraphe niçois révélé par le festival d’aix-en-provence 2019

Information COVID-19

Suite à la fermeture des lieux culturels, le spectacle est annulé et sera, si possible, reporté à la saison 2021-22.
Si vous aviez des billets, vous recevrez un e-mail pour vous détailler les options qui s’offrent à vous.


l’histoire |

Les deux interprètes et leur chorégraphe tissent et détissent les gestes. Les mouvements s’inscrivent sur leurs corps puis sont « grattés », comme sur un palimpseste, afin que ressurgissent des éléments que l’on croyait effacés, nos cicatrices intérieures, nos bleus à l’âme. Telle est l’oeuvre du Temps, symbolisé ici par l’installation plastique d’Aurélie Mathigot en évolution permanente, tandis que la musique envoûtante, exécutée sur scène par Anthony Rouchier, fait se succéder les slides de guitare électrique. À travers leur danse, les corps semblent charrier des vécus, des lieux, des émotions et jamais la Compagnie Humaine ne semble avoir mieux mérité son nom.

ce qu’ils en disent |

Mon corps palimpseste est le dernier opus de mon cycle TRACES, un travail entamé en 2013 autour de la mémoire, des souvenirs, de leurs empreintes sur les corps et leurs impacts sur les parcours. Dans cette pièce, j’explore ces traces que l’homme laisse sur son propre corps, sur les corps des êtres rencontrés, ainsi que sur les lieux traversés. Les dé-formations causées par le vécu. [...] Le temps fait ressurgir certains des éléments que l’on croyait effacés. Il est symbolisé par l’évolution de l’installation plastique d’Aurélie Mathigot, et par la musique envoûtante, toute en slides de guitare électrique imaginée par Anthony Rouchier. Eric Oberdorff

ce qu’ils en pensent |

La Compagnie Humaine d’Éric Oberdorff nous émeut systématiquement sans l’ombre d’une fausse note, par l’habitation spirituelle de son oeuvre. Bérengère Alfort, Revue Ballroom
Mon corps palimpseste tisse et desserre liens et cordons. Pour un spectacle qui accompagne ainsi danseurs et spectateurs dans un processus, partagé, de réécriture mémorielle. Paris-Art
Avec Mon corps palimpseste, Éric Oberdorff explore la relation à l’autre et les traces qu’elle laisse, inconsciemment mais inévitablement. Enrichis de l’expérience née de l’interaction avec autrui, les deux danseurs laissent exploser leur être dans un magnifique final. Valérie Juan, La Strada

2020
2021