en attendant bojangles
à voir avec les adolescants
d’après le roman d’Olivier Bourdeaut
adaptation et mise en scène
Victoire Berger-Perrin
avec Anne Charrier, Didier Brice,
Victor Boulenger
décor Caroline Mexme
lumières Stéphane Baquet
costumes Virginie Houdinière
musique Pierre-Antoine Durand
chorégraphies Cécile Bon
collaboration artistique
Grégori Baquet
assistante mise en scène
Philippine Bataille
productions Atelier Théâtre Actuel,
ACME, FIVA Production,
la Compagnie Vive
et la Pépinière Théâtre
avec le soutien du
Théâtre du Blanc-Mesnil
l’histoire
La mère mène la danse, elle est un feu follet imprévisible, le père se laisse entraîner dans le tourbillon, et le fils, émerveillé, regarde ses parents danser sur « Mr. Bojangles » de Nina Simone. Chez eux, la vie est une fête extravagante, vouée au plaisir, à l’amour fou et aux amis. Un jour pourtant, la mère pousse trop loin son refus de la réalité. Le père et le fils lutteront alors pour échapper à l’inéluctable et feront tout pour que la fête continue, coûte que coûte…ce qu’ils en disent
Folie, légèreté, poésie – humour, fous rires, intensité – gravité, tristesse, larmes : la vie, la vie, la vie, ce roman parle de la vie avec des personnages qui explosent de vie et que l’on aime immédiatement. Tout est théâtral dans cette histoire. Victoire Berger-PerrinUne très belle histoire d’amour terrible. Je l’avais lu avant que l’on me propose la pièce, et l’avais recommencé immédiatement une fois achevé. Je n’arrivais pas à quitter ces personnages. Je rêvais d’interpréter ce rôle de la mère ! Anne Charrier
ce qu’ils en pensent
Une absolue réussite. On ressort bouleversé par cette fable familiale… avec une seule idée en tête : partager cette pépite avec d’autres festivaliers et revoir ce spectacle au plus vite (ce qui n’est pas fréquent !). Sophie Jouve, France infoLe spectacle que signe Victoire Berger-Perrin fait souffler le vent de folie qui innerve le roman. Une mise en scène rythmée traduit l’urgence de cette existence aventurière incarnée par un trio d’acteurs remarquables. Sylvain Merle, Le Parisien
Une pièce remplie d’humanité positive, jamais mièvre mais au contraire d’un dynamisme rare. Un cadeau de théâtre que l’on serait coupable de ne pas ouvrir. François Varlin, Théâtral magazine