bigre
de Pierre Guillois
co-écrit par Agathe L’Huillier,
Olivier Martin-Salvan
mise en scène Pierre Guillois
avec Bruno Fleury, Anne Cressent, Jonathan Pinto-Rocha
assistant artistique Robin Causse
costumes Axel Léonard
lumières Marie-Hélène Pinon,
David Carreira
son Roland Auff ret, Loïc Le Cadre
effets spéciaux Abdul Alafrez,
Ludovic Perché, Judith Dubois,
Guillaume Junot
construction décor atelier JIPANCO
et l’équipe technique du Quartz,
Scène nationale de Brest
production Compagnie
le Fils du Grand Réseau
coproduction Le Quartz,
Scène nationale de Brest / Le Théâtre
de L’Union – Limoges, Centre
Dramatique National du Limousin /
Le Théâtre de la Croix Rousse - Lyon
avec le soutien de Lilas en scène,
Centre d’échange et de création
des arts de la scène
l’histoire
Il s’en passe de drôles dans les soupentes ! Dans trois bien trop petites chambres de bonnes, haut perchées sous les toits de Paris, on assiste à la vie quotidienne d’un gros type, d’un grand maigre et d’une blonde pulpeuse, voisins de couloir. Tout pourrait bien se passer si justement nos trois malheureux n’avaient comme particularité de tout rater. Les catastrophes s’enchaînent, les gags pleuvent, tandis que ces trois marionnettes sans fil s’accrochent à tout ce qui ressemble à l’amour, à la vie ou à l’espoir. Grâce à une machinerie digne du grand guignol, les objets volent, les corps valdinguent et tout l’étage mis sens dessus dessous achève la fable dans un chaos étourdissant.ce qu’ils en pensent
Un volume de Pierre Guillois + une dose de Deschiens + un trait de mélancolie + un soupçon de Mr Bean = Bigre. On savoure ce cocktail surprise. Anna Nobili, EllePierre Guillois s’impose comme un dramaturge pour qui l’humour est un engagement métaphysique et non un simple ressort dramatique. Autant dire que son travail est essentiel et obligatoire. Éric Libiot, L’Express
Tout ça a lieu sans prononcer un mot. Ce sont les corps, ici, les objets, les sons, qui racontent l’existence de ces personnages « stupéfaits par l’ingratitude du destin » et rendent cette existence d’autant plus émouvante. Fabienne Darge, Le Monde