le chant du cygne

le chant du cygne

leçon de théâtre


l’histoire

Le vieil acteur Svetlovidov s’endort ivre dans sa loge, après un gala. Il sort de sa torpeur en pleine nuit et découvre qu’on l’a oublié : le voici enfermé dans le théâtre ! Mais un autre homme a lui aussi trouvé refuge pour la nuit dans une des loges. Les deux compères se retrouvent et se lancent dans une divagation sur les heures glorieuses du théâtre, de la carrière passée de Svetlovidov qui reprend une dernière fois les morceaux de bravoure qui firent son succès.

ce qu’ils en disent

Le théâtre nous renverra toujours à notre humanité et notre vie dans ce qu’elle a d’aléatoire, d’imprévisible, et de paradoxal. C’est pourquoi nous nous sommes amusés à multiplier sur scène les dérapages, les télescopages, les échappées rebelles dans la fantaisie, et les songes même s’ils peuvent rimer avec mensonges. Robert Bouvier

ce qu’ils en pensent

Un détournement de l’oeuvre inventif, astucieux et touchant. Roger Jendly se livre à une introspection à la fois cocasse et sensible. Robert Bouvier lui offre son grand rôle aux côtés du jeune Adrien Gygax qui confère au propos une aimable impertinence qui n’exclut pas la tendresse. Au contraire. Gilles Renault, Libération
Une fantaisie de tous les instants où les interrogations sérieuses se mêlent aux digressions loufoques. La mise en scène de Robert Bouvier regorge d’une joyeuse inventivité qui ne s’arrête pas au texte. Françoise Josse, Le Journal du Dimanche
Ce petit bijou nous fait comprendre comment ça marche, et avec quel art ! La fougue d’Adrien Gygax fait merveille face à l’expérience roublarde de Roger Jendly. Didier Delacroix, L’Express

rencontre avec l'équipe artistique à l'issue de la représentation du vendredi 8 décembre
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