dark circus

dark circus

« miraculeux ! merveilleux ! enchanteur ! magique ! fascinant ! »

l’histoire

Un cirque passe, conduit par un sinistre corbillard, et s’arrête au pied de tristes HLM. Un slogan peu engageant annonce : « Venez nombreux, devenez malheureux ». Dans le monde noir et blanc du Dark Circus, les trapézistes s’écrasent au sol, les lions dévorent les dompteurs, et autres catastrophes. Jusqu’à l’intervention du jongleur qui rendra à la vie ses couleurs. Romain Bermond et Jean-Baptiste Maillet, le duo STEREOPTIK, sont ces enchanteurs qui, en direct, composent et projettent ces images comme autrefois les manipulateurs de lanternes magiques. La musique, les illustrations et les mots de Pef, le prince de Motordu, s’unissent en un poème au charme puissant qui vaut au spectacle une tournée mondiale.

ce qu’ils en disent

Cette histoire de cirque procède d’un retour aux souvenirs de vacances, à la sortie en famille... Elle correspond à une partie de notre univers parce qu’il est clair que nos spectacles se rapportent à l’enfance. Nous ne travaillons qu’avec des choses simples, que tout le monde a chez soi ; des fusains, des crayons, des feutres, du papier, du carton... Et puis, l’histoire que Pef a écrite comporte une magie du même genre que celle que l’on trouve dans nos spectacles. On nous dit souvent : « C’est magique », comme on le dit dans la vie de tous les jours à propos d’une chose simple mais qui semble fabuleuse. Jean-Baptiste Maillet, STEREOPTIK

ce qu’ils en pensent

On éprouve un plaisir totalement enfantin à voir les deux hommes créer leur petit univers en direct. [...] Un univers qui a la beauté du noir et blanc et dans lequel la couleur éclate tout à coup et envahit l’écran. Fabienne Darge, Le Monde
Héritiers de Méliès, bricoleurs de génie, ils ont inventé un procédé qui permet de créer en temps réel – et en rythme – des films d’animation.Sophie Joubert, L’Humanité
Miraculeux ! Merveilleux ! Enchanteur ! Magique ! Fascinant ! Petits et grands n’ont pas de mots assez forts pour dire leur bonheur. Armelle Héliot, Le Figaro

2016
2017