le procès
à voir avec les adolescents
inspiré du roman de Franz Kafka
adaptation, mise en scène, scénographie
et vidéo
Felicien Chauveau
avec Félicien Chauveau, Benjamin Migneco,
Eva Rami, Irene Reva, Christophe Turgie
création musicale Fabrice Albanese
création lumières Gregory Campanella
assistanat mise en scène Irene Reva
travail sur le corps Audrey Vallarino
costumes Guillaume Drezen
habilleuses Laetitia Heritier, Guilia Cortese
maquillages Marie Chassagne
collaboration scénographique,
construction décor Jean Baptiste Nallino
assistanat scénographique
Léa Brossaud, Julia Casabona
avec la participation en vidéo de
Olivier Debos, Frédéric De Goldfiem,
Jacqueline Scalabrini
production Collectif La Machine
coproduction L’Entre-Pont
l’histoire
Jo n’est pas un foudre de guerre mais un jeune bureaucrate solitaire, mélancolique, hypocondriaque et un brin paresseux. Il mène une vie sans histoire dans un monde qui sort à peine d’un conflit mondial. Il ne côtoie qu’Elsa, sa voisine, une jeune fille pleine de vie. Mais un jour il est arrêté par un agent du gouvernement. Personne ne semble savoir pourquoi. La vie de Jo bascule…ce qu’ils en disent
Les liens que tisse Kafka avec son personnage sont plus que de simples similitudes. C’est cette relation schizophrénique avec le fictif qui m’intéresse. Plus je me passionne pour Kafka et plus je me rends compte qu’il a disséminé dans son oeuvre des petits morceaux de son intimité et des révélations qu’on évite de faire à son époque. Ma version du Procès n’est donc pas seulement l’adaptation du roman de Kafka mais bien la mise en scène de la fascination que je porte sur la vie de Kafka et son reflet, plus encore son avatar. Félicien Chauveauce qu’ils en pensent
Cette adaptation est inspirée par des références qui marquent l’univers théâtral de Félicien Chauveau : Hitchcock, Georges Orwell, Terry Gilliam, la saison 2 d’American Horror Story, l’univers des frères Coen, Jeunet et Caro… Le décor est planté : il ne vous reste plus qu’à découvrir comment Joseph K., un employé de banque insignifiant se retrouve accusé sans savoir par qui ni pourquoi dans un procès dont il ignore les règles. La Stradasaison 2014·15
- mercredi 11 mars 2015 | 21hen plus
- vendredi 13 mars 2015 | 21h
- samedi 14 mars 2015 | 21h
- jeudi 12 mars 2015 | 14h30