le malade imaginaire
à voir en famille à partir de 8 ans
texte de Molière
mise en scène Jean Liermier
assistante à la mise en scène Alexandra Thys
scénographie et costumes
Jean-Marc Stehlé et Catherine Rankl
costumes Catherine Rankl et Patricia Faget
assistées de Véréna Gimmel
création lumières Jean-Philippe Roy
univers sonore Jean Faravel
coiffures et maquillages Paillette et Annie
sculpture Anne Leray, Marie-Cécile Kolly et Sylvia Faleni
construction Grégoire de Saint Sauveur et Christophe Reichel
peinture Eric Gazille, Catherine Rankl et Sibylle Portenier
accessoires Georgie Gaudier
équipe technique en tournée
régie générale Manu Rutka
régie lumière Rinaldo del Boca
régie son Manu Rutka
régie plateau Armelle Lopez et Eléonore Larue
habillage Véronica Segovia
avec Madeleine Assas (Toinette), Pierre-Antoine
Dubey (Cléante), Philippe Gouin (Thomas Diafoirus,
Monsieur Purgon et Monsieur Bonnefoy),
Christine Vouilloz (Béline), Dominique Catton
(Monsieur Diaforius et Monsieur Fleurant),
Jacques Michel (Béralde), Gilles Privat (Argan),
Marie Ruchat (Angélique et Luison)
production Théâtre de Carouge-Atelier de Genève
spectacle réalisé avec le soutien de Notenstein
Banque Privée, de la Corodis, de la Loterie Romande et de Pro Helvetia
l’histoire
Argan, veuf, est remarié à Béline qui n’attend que la mort de son mari pour hériter, tandis que celui-ci multiplie saignées, purges et ingère toutes sortes de remèdes. Angélique, sa fille, veut épouser Cléante, mais Argan préférerait avoir pour gendre Thomas Diafoirus, un médecin…ce qu’ils en disent
Le projet est né du désir de retrouver Gilles Privat avec qui j’avais déjà travaillé sur L’École des femmes. Nous avons évoqué le fait de poursuivre ce chemin et nous sommes arrêtés sur cette pièce. L’imaginaire est là. Et je veux mettre en scène cela. Voir où se situe la maladie d’Argan. Voir comment sa prétendue maladie conditionne le monde qui l’entoure et voir comment il rend tout le monde malade. Jean Liermier, metteur en scènece qu’ils en pensent
Gilles Privat est un acteur merveilleux au travail. La réussite du spectacle tient à lui, en grande partie. À son art de vivre chaque instant comme si c’était le dernier, de se fondre dans l’hypocondrie d’Argan, de la prendre au sérieux au point de la rendre palpable, de ne pas trahir le ridicule du personnage tout en inspirant l’affection. Un grand comédien, c’est un courant de sympathie. On se réjouit de ses audaces, on admire sa liberté. Gilles Privat plonge dans les bas-fonds de l’angoisse. On jouit d’être purgé par lui. Alexandre Demidoff, Le Tempssaison 2014·15
- mercredi 5 novembre 2014 | 20h30
- vendredi 7 novembre 2014 | 20h30
- jeudi 6 novembre 2014 | 14h30