alice
dans le cerveau d’Alice
Quand la vidéo se met au service de l’univers merveilleux de Lewis Caroll, elle prend tout son sens.
- jeudi 4 décembre 2014 à 20h30
- samedi 6 décembre 2014 à 21h00
- mercredi 10 décembre 2014 à 21h00
- samedi 13 décembre 2014 à 21h00
- mardi 16 décembre 2014 à 20h30
- mercredi 17 décembre 2014 à 15h00
- samedi 20 décembre 2014 à 21h00
- dimanche 21 décembre 2014 à 16h00
- mardi 9 décembre 2014 | 14h00
- jeudi 11 décembre 2014 | 14h00
- vendredi 12 décembre 2014 | 10h00
- mardi 16 décembre 2014 | 14h00
- jeudi 18 décembre 2014 | 14h00
- vendredi 19 décembre 2014 | 10h00
théâtre et arts numériques
à voir en famille à partir de 10 ans
salle Pierre Vaneck
adaptation Gaële Boghossian
mise en scène et création vidéo Paulo Correia
avec Clément Althaus, Gaële Boghossian et Paul Chariéras assistante à la mise en scène Alice-Anne Filippi
musique, création sonore Clément Althaus
costumes Gaële Boghossian
La robe d'Alice est une création Bibian Blue
décor Gaële Boghossian et Paulo Correia
lumière Albane Augnacs
son Richard Stradiotti
masques Vanessa Clément et Thierry Hett
diffusion Vanessa Anheim Cristofari
production anthéa, antipolis théâtre d’antibes, Collectif 8
avec la collaboration de l'Entrepont et de Divine Quicaillerie
spectacle créé suite à une résidence à anthéa
l’histoire
Lewis Caroll a laissé le soin à son immortelle Alice de nous conduire vers une lecture mentale du monde qui se joue de la logique. Le cerveau de son héroïne est capable d’une perception qui va au-delà du réel, si bien que des neurologues lui ont attribué un nom de syndrome. Les personnes qui en souffrent ont l’impression que leur corps est déformé, que leurs membres s’allongent, comme s’ils se regardaient dans un miroir déformant. C’est ainsi que le spectacle fait se rencontrer et se croiser les fictions de Lewis Caroll et l’approche scientifique du syndrome d’Alice au pays des merveilles. Dans cet aller et retour rendu plus vertigineux encore par un usage pertinent des possibilités de la vidéo, les frontières disparaissent. On passe littéralement « de l’autre côté du miroir ».Les membres du Collectif 8 ont une formation de théâtre traditionnel mais appartiennent aussi à une génération d’artistes nourris d’images et de multimédia. Ce double postulat les a conduit, au fil des créations, à développer une forme hybride de spectacle, entre théâtre et audiovisuel.
anthéa a co-produit le précédent spectacle L’Homme qui rit du collectif 8 lors de la saison 2013-14.