christophe alévêque revue de presse

christophe alévêque revue de presse

l’ardoise s’alourdit

l’histoire

Pour Christophe Alévêque faire sa revue de presse est devenu une sorte de combat contre un tsunami de papiers, d’articles, de commentaires, de prises de becs et de notes qui menacent de l’engloutir à chaque instant mais dans lequel il pioche avec l’énergie d’un missionnaire de l’humour, engagé et dégagé, toujours à la marge. Il ne renonce pas à prendre les choses en mains et il attaque : les élections, les faits divers, la crise de la confiance, l’opposition déchirée, le gouvernement en place, la dette et les bobos bio, les petites phrases des uns et les grosses fortunes des autres. Rire de tout reste son projet.

ce qu’ils en disent

Le plus drôle, c’est qu’on n'est même pas obligé d’en rire. On est libre, tout simplement, et on compte bien le rester. Et vous savez quoi ? J’espère bien que bientôt, je ne parlerai plus de tout ça, d’ici là, la COP21 aura sauvé le monde. Je le dis sans aucune pudeur, j’ai besoin de vous, de vos rires, de votre énergie, j’ai besoin de cette communion, j’ai besoin de votre soutien, pour que continue à vivre cette liberté. Venir au spectacle est devenu un acte de résistance, assister à un spectacle d’humour, un acte quasi politique. Le monde est absurde, le monde est devenu fou, je sais… Mais nous en faisons partie. Debout ! Et hop ! Christophe Alévêque

ce qu’ils en pensent

Christophe Alévêque se fait Don Quichotte et s’attaque à tous les sujets d’actualité. Il les lamine dans une revue de presse actualisée chaque jour. Il part en campagne et s’en prend à l’éducation et aux ados. Il pointe la génération des grands flasques, des « tranquille, t’inquiète », ces résignés qui opposent une tiédeur béate aux vieux énervés dans son genre. Après avoir joué ce nouveau spectacle pendant deux mois au Théâtre du Rond-Point, Christophe Alévêque n’a pas dit son dernier mot. Il veut encore rire de tout, crever les abcès. France Info
Christophe Alévêque, aussi pudique à la ville qu’énervé et impertinent sur les planches, le dit sans détour mais sans arrogance : « Je veux être acteur de la société ». Lutter, en dynamitant le bruit médiatique, contre les déclinistes et autres pessimistes, ces antimodernes qu’il déteste : « Le FN, Zemmour et compagnie, les tenants de la Manif pour tous, qui utilisent la liberté d’expression pour faire l’éloge de la famille traditionnelle et des frontières ». Le Monde
2017
2018