un air de famille

un air de famille

le retour de jaoui-bacri

l’histoire

C’est une habitude, le vendredi on se retrouve au « Père Tranquille ». Il y a la mère Ménard et ses enfants, Betty, Philippe et Henri, le fils aîné, qui tient le café. Ce soir, on fête l’anniversaire de Yoyo, la bru un peu tarte. Rapidement sous le regard malicieux de Denis, le serveur intello, la réunion de famille prend un drôle d’air, l’heure des règlements de comptes a sonné… La pièce, devenue un classique, regorge de phrases désormais proverbiales. Créée en septembre 1994 par Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri au Théâtre de la Renaissance, Un air de famille obtient deux Molières en 1995 et se joue depuis un peu partout dans le monde. En 1996, Cédric Klapisch l’adapte au cinéma sous le même titre. Le film remporte trois Césars.

ce qu’ils en disent

Le temps a sa propre logique, depuis quelques années déjà, on nous propose de remonter nos pièces, mais l’idée me plongeait dans un cafard diffus comme celle de revenir sur les lieux d’un grand amour passé. Mais le temps a fait son office et j’avais la meilleure distribution possible. J’ai commencé les répétitions un peu inquiète quant à ma capacité de diriger les acteurs mais, très vite, une fois sur le plateau, elle s’est volatilisée. Et s’il y a une chose que je peux dire à l’heure où j’écris ces lignes, c’est que ces acteurs sont infiniment aimables et merveilleux. Agnès Jaoui

ce qu’ils en pensent

Lucide, ironique et mordante, portée par des dialogues qui font mouche, cette comédie s’avère toujours aussi drôle et touchante. Sandrine Blanchard, Le Monde
Le secret de la réussite de cette reprise tient évidemment en grande partie à l’équipe de six comédiens excellents. Armelle Héliot, Le Figaro
Le talent des Jabac est de ne pas figer les personnages, de ne pas les condamner. Chacun, ou presque, est sauvé d’une manière ou d’une autre. Etienne Sorin, Le Figaroscope
2017
2018