fractus V

fractus V

le plus grand chorégraphe des quinze dernières années

l’histoire

S'inspirant des textes de Noam Chomsky, Sidi Larbi Cherkaoui interroge notre rapport à l’information et notre liberté de penser face à la manipulation des propagandes. Au carrefour des langages chorégraphiques, Fractus V réunit autour de Sidi Larbi Cherkaoui, quatre danseurs et circassiens contemporains. Ils sont accompagnés par un percussionniste et chanteur japonais, un chanteur et musicien coréen, un joueur de sarod indien, un chanteur et musicien congolais.

ce qu’ils en disent

Je voulais revenir à un travail de danse avec des corps d’hommes. Pour montrer des danseurs qui sont peut-être des facettes du même homme, des alter ego en conflit avec eux-mêmes. Sidi Larbi Cherkaoui

ce qu’ils en pensent

Mélanger ses pinceaux est naturel pour cet artiste belgo-marocain. L’ubiquité se porte à même sa peau de caméléon : son corps flexible, acrobatique, conservant un lien organique entre ses métamorphoses. Rosita Boisseau, Le Monde
Malgré la complexité des ingrédients, la pièce reste limpide. C’est ce qui fait sa force et remporte l’adhésion du public. Et Cherkaoui montre ici qu’il est un véritable maître à danser l’union des contraires apparents, peutêtre plus que jamais. Thomas Hahn, Danser, canal historique
Sur scène, les tenues rouge sang redeviennent bleues et le jeu entre individuel et collectif se clôt sur une libération. Les panneaux mobiles du décor, les ombres, les miroirs, le puzzle tant de fois construit et déconstruit laissent alors place à un plateau à nouveau vierge, à des gestes et des chants communs, communautaires. Cathia Engelbach, Théatrorama
2017
2018