dany de boon des hauts-de-france

dany de boon des hauts-de-france

25 ans de scène

l’histoire

Bien avant l’écrasant succès des Ch’tis, Dany Boon a enchaîné les succès sur scène dans des one-man-shows humoristiques portés par un goût de l’absurde qu’il puise dans les situations du quotidien. Le regard tendre qu’il pose sur ses personnages signe sa manière. Même quand la charge est forte on ne le prend jamais en défaut d’arrogance. De cette bienveillance naturelle naissent des situations décalées à l’image des réactions de ses personnages. Ce nouveau spectacle, placé dans le viseur d’une autre grande comique, Isabelle Nanty, ne déroge pas à la règle. Entre reprise d’anciens morceaux de bravoure et inédits auxquels s’ajoutent des moments musicaux, Dany Boon rend un hommage drolatique aux siens, les gens du Nord.

ce qu’ils en disent

J’ai rencontré Dany Boon à ses débuts sur scène. J’avais beaucoup aimé un tout petit extrait de son premier spectacle que la télévision daignait présenter rapidement et avec condescendance. C’était neuf, à la fois méchant et tendre, hilarant et parfois bouleversant. Je l’ai immédiatement invité dans mon petit théâtre (350 places) que nous avons eu beaucoup de mal à remplir. C’était au milieu des années 90. Il est devenu un immense homme de spectacle mais il vient toujours dans le théâtre que je dirige. C’est un ami. Daniel Benoin

ce qu’ils en pensent

Le showman tourne le dos à la dérision second degré de l’humour contemporain pour assumer son statut de clown grand public au corps élastique. Franchouillard quand il évoque la vie de couple, carrément caustique en se payant l’univers Disney, le pitre réserve un traitement de faveur à ces fameux Hautsde- France dans une leçon de géographie lorgnant du côté de Raymond Devos. Futur classique. Christophe Caron, La Voix du Nord
Les bras chargés de cadeaux, il remonte sur scène pour fêter ses 25 ans de carrière. Un peu moins de deux heures de nouveautés, évidemment, mais aussi d’anciens sketchs cultes. Jubilatoire. On en redemande. Sylvain Merle, Le Parisien
2017
2018