imany

imany

à fendre l'âme

l’histoire

Originaire des Comores, née à Martigues dans une famille nombreuse, la jeune Imany (« foi » en swahili), belle comme la nuit part pour New York, mener une carrière de mannequin dont elle se lasse au bout de quelques années. Làbas, elle se trouve d’autres modèles (Tracy Chapman, Nina Simone, Tina Turner…) et se découvre une voix en or. Elle travaille son chant, abandonne sa première carrière et rentre en France. C’est décidé, elle chantera en anglais ses propres textes. En 2011, naissance d’un somptueux disque d’inspiration folk dont le titre-phare, You Will Never Know, devient un tube tandis que son album se chrome de platine. Suivent un temps de tournée et un temps d’écriture. À 36 ans, au sommet de son art, Imany revient sur scène se faire pardonner ses dons.

ce qu’ils en disent

Imany parle et chante, chante et parle, de cette même voix de basse, masculine et ravinée, cuir gaufré et rhum-tabac. Une voix huileuse comme le cache-poussière d’un rôdeur du crépuscule et assombrie comme l’enrobé de cette Highway 66 que dévaleraient des Easy Rider noctambules. Luc Le Vaillant, Libération
Imany a davantage qu’un style : une voix grave qui mêle la puissance de Tracy Chapman, la gravité de Nina Simone et la soul de Lauryn Hill. Son premier album, disque d’or en quelques mois, revendique toutes ces influences folk, soul ou blues. Mina Soundiram, L’Express
2015
2016