hindi zahra <br />homeland

hindi zahra
homeland

après handmade, victoire de la musique 2011, voici homeland

l’histoire

Il paraît loin déjà le temps où Hindi Zahra bricolait du son dans sa salle de bains... De ces tâtonnements et de cette économie de guerre allait sortir en 2011 le bien-nommé Handmade, son premier album. Une entrée en fanfare sur la scène folk transgenre, couronnée par le prix Constantin et une Victoire de la Musique. Partout les cœurs chavirent sur son Beautiful Tango. S’ensuit une tournée mondiale et un repos mérité au Maroc. Ivre de voyages et de rencontres musicales, la chanteuse d’origine marocaine qui vit en France, chante en anglais et en berbère, revient avec Homeland, un album et un tour de chant longtemps mûri et infusé, riche d’influences et d’hommages, de paysages et de climats.

ce qu’ils en disent

Dans ma famille, on était une vingtaine à vivre dans le même immeuble. Dès le matin, il y avait un foisonnement de musique : ma grand-mère écoutait de la musique berbère, ma mère et mes tantes chantaient, mes oncles écoutaient du rock psyché ou Bob Marley et jouaient de la guitare. J’ai entendu de la musique indienne, égyptienne, espagnole, anglo-saxonne, africaine, j’ai toujours chanté et dansé sur les tables, je viens de toutes ces influences. Ado, j’écrivais beaucoup, ma voix était mon instrument. J’aimais les chanteuses : celles qui sont dans le jeu, la facilité et celles accédant à la profondeur des émotions, dans l’expression du sentiment féminin : Ella Fitzgerald, Oum Kalthoum, Yma Sumac, Oumou Sangaré, Nina Simone...Si on ne m’avait pas poussée, je n’aurais pas fait de disque. Le fil conducteur de ma vie, c’est la scène. Le disque, c’est une étape. Hindi Zahra

ce qu’ils en pensent

Un deuxième album de soul mondiale comme une odyssée vertigineuse. Stéphane Deschamps, Les Inrockuptibles
La créatrice de Beautiful Tango signe un magnifique deuxième album-monde, mix de transes berbères, latino, jazz et rock. Philippe Chevilley, Les Échos
Une collection de ballades lancinantes gorgées d’Orient, qui s’abandonnent dans la soul, la saudade et la transe. Gilles Médioni, L’Express

2015
2016